1 février 2011

Réno - 1 - historique

La première d'un longue série, je crois !
Pas que je serai si assidue, mais nous entrons dans une zone inconnue et imprévisible par nature, où les estimés sont habituellement largement dépassés.

Je tiens à préciser que ce ne sont pas des rénos de luxe, dans le sens où quand nous avons acheté la maison, il y a 4 ans, on avait "rien à faire". Deux semaines après, suite à des pluies diluviennes très concentrées dans le temps, notre sous-sol était inondé. Les assurances nous demandaient de refaire tous les planchers. Ce que nous avons fait et, "tant qu'à y être", nous en avons profité pour remplacer les murs de préfini et le plafond de stucco, pour mieux isoler et pour installer de nouvelles fenêtres !

Seul hic : dans la salle de bains, la porte de la douche n'était plus étanche suite aux manoeuvres pour arracher le plancher. À refaire. Ça a traîné... Nous avons (hum, gentil Fiancé a) coupé le gypse dans le but de refaire les murs de ciment afin d'y poser de la céramique. Et ça a traîné encore après...

Puis le printemps dernier, exactement le jour de la rencontre avec la directrice de la nouvelle école de Fillotte, nous avons eu la visite de grosses fourmis charpentières dans la cuisine, la salle de bains, au sous-sol... Appel en catastrophe d'un exterminateur qui identifie la source du problème : le bain du rez-de-chaussée a des fuites, la moisissure est dans la structure en-dessous et les fourmis en profite pour s'y faire un chemin. Elles adorent le bois pourri. Traitement de la maison, les fourmis meurent et nous voilà avec des travaux d'envergure pour le futur proche : démolir le mur de la salle de bain, constater l'ampleur des dégâts, nettoyer et reconstruire les salles de bains, l'une étant au-dessus de l'autre.

[aperçu du mur avant le premier nettoyage]

Pour avoir des amis qui ont rénové et parcouru plusieurs blogues sur le sujet, je sais un peu trop ce qui nous attend. Les histoires sont tellement semblables que si j'étais étudiante en psychochologie je proposerais une théorie de la rénovation, avec ses phases : départ plein de bonne volonté, mauvaises surprises, contracteurs malhonnêtes, découragement, poussière envahissante, chicane de couple, routine familiale anéantie, etc.

Bon. On va commencer par se retrousser les manches et faire des plans !

3 commentaires:

  1. loll Tout ce que je peux vous dire, pour le moment, bonne chance!!!

    J'ai déjà hâte de lire la suite... Nous aussi on est passé par là :o)

    Allez hop, au boulot! Avant que les «fourmis» dansent ;o)

    RépondreSupprimer
  2. Heu... est-ce qu'on est vraiment obligés de se chicaner, chérie ?

    RépondreSupprimer
  3. Et pendant ce temps-là où vous lavez-vous ?

    RépondreSupprimer